Ce premier « prototype » culinaire a tout de même mobilisé prés de 290 000 euros, une forte somme qui a été donnée par Sergey Brin, père de Google

Les expériences et recherches ont eu lieu à l’Université de Maastricht aux Pays-Bas. Si le monde scientifique a consenti à investir aussi massivement qui en apparence se présente comme un projet farfelu, c’est parce que l’intérêt que l’humanité pourra en retirer sera énorme. Et parmi ceux-là, il y a la contribution à la préservation de l’environnement (l’industrie de la viande est hyper polluante) mais aussi la contribution à la lutte contre l’insuffisance alimentaire dans le monde. Outre les écologiques et l’organisme défenseur des animaux, PETA, il y a une communauté qui se frotte les doigts à l’annonce de la réussite de l’expérience.

Il s’agit de la communauté juive

Il faut savoir en effet que les juifs ne consomment pas de hamburger avec viande et fromage. La raison en est que la casheroute interdit l’association viande et lait. Ces deux aliments doivent être préparés séparément et déguster à un intervalle de temps bien précis. C’est pourquoi dans les fast-foods cashers, le hamburger est généralement préparé avec du tofu et de la viande. Or ce steak artificiel ne serait pas à proprement parler une viande au sens de la casheroute, et ceux bien que les chercheurs aient utilisés des cellules souches provenant d’une vache. Autrement dit, il y aurait des chances à ce que ce steak éprouvette puisse être associé à du fromage. Si cela est possible, les Juifs pourront enfin déguster un véritable hamburger casher !