On est tous d’accord, l’objectif du vrac, c’est d’abord de lutter contre le suremballage et de faire maigrir nos poubelles. Mais c’est aussi de pouvoir choisir la juste quantité, une pincée d’une épice pour une recette, ou quelques grammes de farine pour une recette (cf recette de moutarde).
 
 Et ce n’est pas tout. Le vrac développe le lien social. Car dans une épicerie de vente en vrac, on parle davantage au commerçant, on discute du produit, des origines, des producteurs… 
Enfin,  qui dit vrac dit économies. Les produits sont entre 10 et 45% moins chers que leurs équivalents en grande distribution sur-emballés…
 

En général,  
une gamme assez large de produits est proposée, à savoir : des fruits et légumes, de la fromagerie, et de l’épicerie., des produits d’entretien, des produits d’hygiène…
 

Faire revenir cet ancien mode de distribution qui nous rappelle le temps où l’on allait chez grand-mère, est un moyen de maintenir une autonomie de consommation pour les personnes à mobilité réduite mais aussi de redynamiser le tissu rural boudé par le commerce.   
Développer les circuits courts pour limiter les intermédiaires et ainsi proposer des prix plus justes pour chacun: on n’achète que la quantité dont on a besoin, on ne paye que le produit et on lutte contre la production de déchets.
   

Le vrac est un levier pertinent, qui peut correspondre à des motivations écologiques, sociales, économiques. Chacun peut y trouver son compte.
 

Quelques exemples:

l'Epicerie itinérante:  Au poids Chiche, au pays d'Aix

Restaurant Le Bar à Vrac à Marseille,
 
Alors n'hésitez pas à tester, à vos bocaux !