Un regain de confiance en soi

 La thérapeute et assistante sociale Julie Ohana met en évidence une montée de confiance en soi chez les personnes qui cuisinent pour autrui. En cuisinant, nous apprenons à être en phase avec nous-mêmes, et le fait de réussir à réaliser quelque chose qui sera approuvé par les autres nous réconforte et nous procure un sentiment de bien-être.

Un mode d’expression pour créer des liens

  Pour Susan Whitbourne, professeure de sciences du cerveau et de psychologie à l’université du Massachusetts, cuisiner pour les autres est un autre moyen d’exprimer nos sentiments. En guise de soutien, de bienvenue ou pour exprimer son amour, préparer un plat pour quelqu’un montre combien cette personne compte pour nous et se révèle être un bon moyen de proximité.

Cuisiner pour développer sa créativité et réduire le stress

 Donna Pincus est également professeure de sciences du cerveau et de psychologie. Elle nous fait remarquer que le fait de cuisiner peut être comparé à d’autres activités artistiques, comme la peinture. Cette expression créative procure du bien-être et réduit le stress.

Cuisiner pour améliorer sa concentration

  Dans l’immédiat, cuisiner pour les autres nous oblige à nous concentrer et à prendre pleine conscience de ce que nous faisons.

Une thérapie de l’altruisme

 Cuisiner pour les autres est donc une véritable thérapie. L’altruisme véhiculé par le don de ses efforts en cuisine apporte de la joie.